" Claude Monet veut que la cathédrale
devienne une éponge de lumière, qu'elle absorbe
en toutes ses assises, en tous ses ornements,
l'ocre d'un soleil couchant...

... Là encore, on mutile les réserves de rêverie
que contient l'oeuvre d'art si on n'adjoint pas
à la contemplation des formes et des couleurs
une méditation sur l'énergie de la matière
qui nourrit la forme et projette la couleur,
si l'on ne sent pas la pierre
" agitée par le travail intérieur du calorique "  


Alors, d'une toile à l'autre,
de la toile aérienne à la toile solaire,
le peintre a réalisé une transmutation de matière.
Il a enraciné la couleur dans la matière...

Pour un vrai peintre, les objets créent leur atmosphère,
toute couleur est une irradiation,
toute couleur dévoile une intimité de la matière "

J'en étais là dans

"Le Droit de rêver"
de Gaston Bachelard

quand l'article de

Jackie,  link
Alchimiste de la Lumière,

est arrivé, avec sa toile d'octobre :
link
 je le recopie en plus, il y en aura bien un sur trois qui ira !

http://jifou.over-blog.com/article-37154282-6.html#c

Ses vibrations de lumière et matière
 "mènent nos songes"