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"... pourchassé par les gamins..."chanson de
Du nouveau au sujet de la mort de
Vincent VAN GOGH
survenue ici, à l'Auberge Ravoux, rénovée,
- dont les propriétaires peu de temps après l'événement,
sont venus s'installer place de la Mairie à MEULAN en Yvelines -
le Mardi 29 Juillet 1890
à 1 h 30 du matin à AUVERS SUR OISE
Vexin - Val d'Oise
Vincent à Auvers - sur - Oise ... J + 119 ans
Une annonce de la presse :
France 3 Ile de France
Van Gogh assassiné ? Par Fredéric Askienazy
Ce tableau serait en fait le portrait du frère cadet de Vincent Van Gogh, Theo. AFP/Ilvy Njiokiktjien Van Gogh aurait été assasiné, la thèse de deux auteurs américains Vincent Van gogh s'est il vraiment suicidé à Auvers-sur-Oise ou bien a-t-il été tué ?
Deux auteurs Américains remettent en cause les circonstances de sa mort dans une biographie à paraitre. Jusqu'à présent, il était admis que le 27 juillet 1890, Vincent Van gogh quitte l'auberge avec brosses et chevalet. Il revient cinq heures plus tard blessé aprés s'être tiré une balle de revolver, et meurt dans les bras de son frère Théo trente heures aprés.
Pour les deux auteurs de la biographie de Van Gogh, Steven Naifeh et Gregory White Smith, le peintre ne se serait pas suicidé, mais aurait été tué par deux adolescents, les frères Secrétan dans la ferme d'une cours d'Auvers-sur-Oise. "c'était soit un accident, soit un acte deliberé" assure un des deux auteurs A l'appui de leur thése, l'arme qui n'a jamais été retrouvée Ils ne croient pas non plus que le propriètaire de l'auberge ait pu donner une arme à Van Gogh qui sortait tout juste de l'asile psychiatrique.
Enfin la trajectoire de la balle dans l'abdomen n'est pas logique pour un suicide. Et que penser des derniers mots de Vincent sur son lit de mort. Aux policiers qui lui demandent si il a tenté de se suicider "je le crois a-t-il répondu, n'accusez personne d'autre."
Selon les auteurs de cette biographie qui boulverse le monde de l'art, Van Gogh malade, suicidaire et tourmenté à l'idée d'être un fardeau pour son frère Théo, aurait été quelque part "reconnaissant" de cette tournure des choses.
Le musée van Gogh d'amsterdam a jugé "interesssante la théorie des deux écrivains américains selon lesquels le peintre aurait été tué par deux adolescents mais a jugé "prematuré" d'écarter la théorie du suicide.
Suicidé ou assassiné, Vincent Van Gogh est mort à Auvers-sur-oise le 29 juillet 1890, à l'âge de 37 ans.
Il est vrai que cette façon nouvelle d'appréhender ce décès
est assez intéressante. Depuis juillet 1890, date de la parution dans
le Journal "Le Régional" de Pontoise de l'annonce de la mort de Vincent,
il n'y a eu officiellement que des récits de personnes "honorables", en position sociale privilégiée au village, les plus connus étant
le docteur Gachet, puis son fils Paul
qui consacra ses dix dernières années de vie,
entre 1952 et 1962 à rédiger le récit de ce qu'il avait vu et synthétisé.
Editions du Valhermeil devenues Corlet :
Mais qui a pensé à interroger, plutôt à consigner par écrit les témoignages
des villageois ? Dans un petit village comme Auvers, fermé sur lui-même,
la personnalité de Vincent devait faire parler, choquer peut-être.
Il n'allait pas à la messe... puisqu'ancien pasteur. Son aspect physique,
son accent, ses promenades solitaires, ses rapports avec la famille Gachet,
dont Marguerite qui ne l'avait peut-être pas laissé indifférent,
ses lettres qui montrent un personnage généreux, idéaliste,
loin d'être fou mais complexe, querelleur, souvent agressif,
procédurier et chicaneur parfois.
Le film de Maurice Pialat est intéressant dans le sens où
on le voit aller se baigner, boire, déjeûner avec des filles et des camarades...
Que des adolescents le tracassent ou en viennent à le molester, pourquoi pas ?
les bandes de petits voyous étaient courantes, les rixes entre villages sont relatées dans
les récits d'Historiens comme Eugène Bougeâtre, instituteur fin XIX°
Il faudrait avoir accès au rapport d'autopsie
mais il n'y en a certainement pas eu, Van Gogh ayant pris à son compte cette blessure.
S'il avait vraiment voulu mourir, on peut se demander s'il aurait eu
le courage physique, blessé au ventre,
de redescendre du haut du plateau dans la vallée, en pleine chaleur,
une bonne trotte, et de retourner à l'Auberge Ravoux, loin de la rue de l'Eglise.
il serait peut-être resté sur place dans le sentier, à attendre la nuit et sa mort ?
on peut imaginer beaucoup de choses et les historiens vont travailler sur cette
hypothèse...
Van Gogh, paroles de Pierre Lambry et musique de Jacques Datin, 1959
Chanté par Michèle ARNAUD
Les cyprès, les ciels provençaux
La route où nul bonheur ne passe
Les blés sous les vols des corbeaux
Tout flamboyait dans ses tableaux
Ce pauvre dieu de pauvres diables
Pourchassé par tous les gamins
S'en allait seul et misérable
le miracle avait pris fin
Jamais, jamais aucune femme
Même un seul jour ne l'a aimé
L'amour que cœur et corps réclament
Aux filles des rues, il l'achetait
Et quand un peu d'argent lui restait
Jusqu'au soir où, fou de misère,
Vincent Van Gogh s'est suicidé
Par dénuement, ce milliardaire
Qui voit de son éternité
Les prix de ses tableaux flamber
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Le plus beau des Grands Magasins Parisiens
comme le dit la chanson
Les Petites Pépettes
des Galeries Lafayette...
étaient payées à la guelte
et toute la journée sur leurs gambettes...
Pas de cadeau entre vendeuses, même guerre que dans les entreprises actuelles:
Emile Zola, Au Bonheur des Dames, page 135
"...Il s'agissait de l'inscription au tableau de ligne, qui réglait les tours de vente.
Les vendeuses s'inscrivaient sur une ardoise, dans leur ordre d'arrivée ; et, chaque fois qu'une d'elles avait eu une cliente, elle remettait son nom à la queue.
Mme Aurélie finit par donner raison à Marguerite.
- Toujours des injustices ! murmura furieusement Clara. Mais l'entrée de Denise réconcilia ces demoiselles. Elles la regardèrent, puis se sourirent. Pouvait-on se fagoter de la sorte !
La jeune fille alla gauchement s'inscrire au tableau de ligne, où elle se trouvait la dernière. Cependant, Mme Aurélie l'examinait avec une moue inquiète. Elle ne put s'empêcher de dire : - Ma chère, deux comme vous tiendraient dans votre robe. Il faudra la faire rétrécir... Et puis, vous ne savez pas vous habiller. Venez donc, que je vous arrange un peu. Et elle l'emmena devant une des hautes glaces, qui alternaient avec les portes pleines des armoires, où étaient serrées les confections. La vaste pièce, entourée de ces glaces et de ces boiseries de chêne sculpté, garnie d'une moquette rouge à grands ramages, ressemblait au salon banal d'un hôtel, que traverse un continuel galop de passants. Ces demoiselles complétaient la ressemblance, vêtues de leur soie réglementaire, promenant leurs grâces marchandes,
sans jamais s'asseoir sur la douzaine de chaises réservées aux clientes seules..."
On y trouvait déjà tout... en décembre 1923 !
Le Droit du Travail a évolué, grâce aux luttes syndicales,
au Front Populaire et aux Accords de Grenelle, mais rien n'est encore idéal dans ces métiers.
La Mode a changé pour les vêtements,
mais pour les jouets, la tendance est au Rétro, en bois, si beau et costaud...
le Salon Création et Savoir Faire link
relance les envies de travaux et créations féminines qui ressemblent fort à ces images
et relancent des techniques un peu oubliées depuis les années 80
Visite des Galeries ?
Martine nous a fait les photos des vitrines actuelles
sur cergyrama.com , ici :link
et les Galeries "Farfouillettes" sont là : link
46 commentaires -
Françoise
notre Amie La Vieille Marmotte
inspirée par le 11/11/11...
nous a choisi, à 11 h 11... ce thème antinomique
honneur - honte
Eh bien, rédigeant en ce 11 Novembre 2011 qui
malgré les prédictions des charlatans, n'a pas été le dernier
(honte aux numérologues ! ), je choisis de rendre
HOMMAGE
aux soldats de la Grande Guerre, de chaque camp
Sablé sur Sarthe Mémorial
qui pensaient que leur combat était le dernier...
la Der des Der était la première du XX° siècle
Concert fraternel du film "Joyeux Noël"
(compositeur de la musique du film : Philippe ROMBI )
Les Français n'avaient pas demandé l'écrasement de l'Allemagne,
le Présient Wilson l'a fait avec ses 14 points du Traité de Versailles;
mais sans nos Alliés que serions-nous devenus ?
Hommage aux Alliés
et à leurs chants et marches militaires :
Rule Britannia
et cette célèbre Marche Américaine
29 commentaires -
Une fraise ...
Que d'expressions populaires amusantes et imagées !
copiées sur ce site : link
aller aux fraises se dit quand on a un pantalon trop court (ou aux crevettes !)
aller aux fraises, flâner ; formule classique pour signifier la promenade en forêt
Être déporté, aller ailleurs
amener sa fraise Venir
bêtise de fraises à la crème : grande bêtise
chambéry fraisette : type d'apéritif
cueilli comme des fraises : Volé
ferme aux fraises: Salle de police
fraise Tête, visage
fraise Nez
fraise (ma -) Moi
fraise (radiner sa -) Venir, arriver
fraise (sucer la - de) Embrasser
fraises (coin de -) Où la vertu ne risque rien??
fraises (être dans les -) Perdre
fraises (pour vos -) Pour vous
jacque sanguin Fromage frais et mou, mêlé et pétri
ramener sa fraise ramène pas ta fraise : Intervenir, intervenir sans avoir été appelé, se faire remarquer, protester, récriminer ; arriver, venir, se présenter ; se faire valoir ; formule de congé méprisante
sucrer les fraises Trembler (général, de peur, à cause de l'âge et d'une certaine débilité...)
Et, sans trembler :
Tricotée en à peine une heure , debout (car c'est bon pour la santé, d'après nouvelle étude américaine...) link
devant par exemple, sa table à repasser-établi-à-tout-faire...
Kitch ou niais ? c'est Anglais !
ces petites pièces, avec bien d'autres objets créatifs
réalisés bénévolement tout au long de l'année par mes copines,
seront proposées pour récolter des fonds en faveur de la
Recherche en Ophtalmologie effectuée par l'association
"recette" trouvée dans ce joli blog :
Côté Passions, une mine d' idées à visiter sans faute
30 commentaires -
Notre amie
FRYOU
Présidente de la semaine link a choisi ce thème :
"Laissez parler les gens en musique "
Le verbe est à l'impératif,
j'y vois donc une injonction, et comme une indignation !
Par définition, la chanson "parlant en musique",
cherchons des ex-contestataires... bien fades sont
ces groupes d'aujourd'hui, bien calés dans un système marketting
qui leur rapporte beaucoup de sous, tirant parti des souffrances des jeunes ou de minorités;
et le rap ne me "parle" pas, il ne me dit rien ...
Ils étaient déjà nombreux à dénoncer cette société emballée, de tous temps.
Laissant de côté
François Villon ,
faute de vidéo d'auteur, (est-ce normal ?!)
remontons aux temps post-préhistoriques,
à ceux de ma génération, " les jeunes " voyous de 68
Attaquons par l'angle "Contestations" !
RENAUD
je me demande qui pouvait bien entendre cette chanson en Mai 68,
hors des barricades du Quartier Latin, de la Sorbonne
ou du "Campus" de Nanterre
(ceux qui connaissent cette fac' sont écroulés de rire
à cette appellation pompeuse de Campus !)
car en ce joli mois de Mai 68 , radio et télé étaient censurées ...
copie extraite de ce site "La chanson engagée" link
"Crève salope"est la première chanson du compositeur et interprète Renaud,écrite à l'âge de 16 ans;le chanteur aurait été inspiré par un tract du même nom, publié à Bordeaux en avril 1968."Crève salope" fut chantée a cappella dans la Sorbonne occupéemais n'a jamais été éditée en disque.Plus tard elle fut reprise sur les barricadeset devint le signe de ralliement des étudiants en colère.Devenue un « mini hymne » de Mai 1968, "Crève Salope"montre bien ce climat révolutionnaire contre cette France concervatrice:La « salope » c'est la société de 1968. Chaque couplet dénonce une forme d'autorité (paternelle, professorale, policière et religieuse). À la fin de la chanson, l'autorité de l'État met fin à cette rébellion: « Et j'ui ai dit : crève salope ! Et j'ui ai dit : crève charogne ! Et j'ui ai dit : crève fumier ! Vlan ! Y z'ont tranché ! »
Deux ans plus tard, en 1970... La majorité en France était encore fixée à 21 ans,
nous n'avons pu voter avant 1976...
(merci tout de même à Giscard, pour le droit de vote à 18 ans,
l'IVG et la législation sur les handicapés)
Mai 68 est passé et la société a changé; les collants sont arrivés puis les couches jetables ;
les femmes luttent, mais quelles peines elles cumulent...
- en travaillant à l'extérieur : déjà trouver un transport...
- elles essaient de ne pas culpabiliser de confier leurs enfants à ..
à qui d'ailleurs ?...
pas de crèches, de nourrices, on se débrouille,
les grands-mamans aident parfois et désapprouvent...
les hommes entendent parler de partage des tâches domestiques,
mais sans vraiment comprendre...
Et le salaire féminin tombe chaque fin de mois, et bien accueilli au foyer...
même si dévalué d'au moins 20% par rapport à celui des hommes...
La société de consommation est en marche, adieu formica et napperons au crochet...
QUI A TUE GRAND MAMAN ?... Michel POLNAREFF
Mais l'espoir est bien là...
les gars mettent des chemises à fleurs... et se laissent pousser les cheveux !
l'EGALITE entre les sexes est en marche.... ... ?
ANTOINE Elucubrations !
O yeh !
mais ... ça ne va pas du tout, je n'ai présenté que des garçons...
pourtant cette Dame n'a pas écrit que des Fabulettes...
elle réclame pour nous, enfin...
le Droit à être une emmerdeuse ...
Anne SYLVESTRE
mais c'est loin d'être encore gagné, les filles; ah méno, méno ! link !
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