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    A LA LANTERNE !

     

    La Lanterne, résidence des Premiers Ministres,

    récupérée par la Présidence depuis 2007

    se situe à la sortie de Versailles, route de Saint Cyr l'Ecole,

    juste après l'Orangerie

     

    Impossible d'y accéder en ce moment, on y cogite, et fort ...

     

    on y discute,

    MAM   oui !

     

     

    Mais on ne conduira pas la Ministre à la lanterne,

     la Terreur est terminée, heureusement

     

    LANTERNE

    Nom que portèrent dans le principe les réverbères des rues de Paris.

    Je montrerai les baux de mes maisons [à Paris],

    je produirai mes quittances des boues et lanternes. [Sévigné, 13 avr. 1689]

     

    Être à Paris en butte au public, j'aimerais mieux être une lanterne des rues exposée au vent et à la grêle. [Voltaire, Correspondance]

     

    Pendant la Révolution française, mettre à la lanterne,

    se servir des cordes des réverbères pour pendre ceux que désignait la fureur populaire.

     

    À la lanterne ! cri sauvage, pendant la révolution,

     par lequel on appelait la vengeance populaire sur quelqu'un.

     On criait : L'abbé Maury à la lanterne ! -

    Eh bien, répondit-il, quand vous m'aurez mis à la lanterne, y verrez-vous plus clair ?

     extrait de : http://littre.reverso.net/dictionnaire-francais/definition/lanterne/43654

     

     

     Description complète et histoire :

     

    La lanterne à Versailles

    La cérémonie du mariage de Nicolas Sarkozy et Carla Bruni a été célébrée à l'Elysée.

    Mais le dîner a eu lieu à la Lanterne à Versailles. Résidence secondaire des Premiers ministres

     jusqu'à l'année dernière, Nicolas Sarkozy a jeté son dévolu sur cette magnifique bâtisse

     située dans le parc du château de Versailles depuis sa prise de fonction en mai 2007.

     La lanterne est devenue le deuxième QG du Président de la République après l'Elysée.

    Il peut notamment y recevoir plus discrètement ses visiteurs.

     C'est donc à la Lanterne que se sont déroulés le dîner et la nuit de noces de Nicolas Sarkozy et Carla Bruni.

     Enquête sur l'un des lieux les mieux gardés de la République.


    Un pavillon situé dans le parc du château de Versailles

    Le pavillon de la Lanterne a été construit en 1787 au fond du parc du château de Versailles.

     La maison centrale, de 20 mètres de long, a été mise à la disposition des membres

    du gouvernement suite à la décision du général De Gaulle en 1959.

    André Malraux y séjourna en premier et c'est sa femme, Louise de Vilmorin, qui a fait réaménager la bâtisse.

     Au rez-de-chaussée de la maison centrale, on y trouve un grand salon, une salle à manger et un bureau. A

     l'étage, il y a cinq chambres avec leurs salles de bain.

    Les ailes du pavillon servent à loger le personnel et le service de sécurité.


    La lanterne  texte en provenance de ce site, la suite et des photographies :

     

    http://www.politique.net/2008020501-la-lanterne-a-versailles-residence-de-nicolas-sarkozy.htm

     

     

                           Décision : ce soir aux JT !                    

     

     

     


    22 commentaires
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      Vexin - Parisis

      Grande guerre

     

     

     

    Certains parents font des cadeaux

     extra - ordinaires  à leurs enfants...

    Monsieur KRUPP

    grand industriel de la Ruhr

    avait baptisé une énorme machine de guerre

     du prénom de sa fille 

     

    Capture-bertha-krupps.PNG

    Bertha KRUPP 

     

     Une des énigmes de la Grande Guerre :

    La GROSSE BERTHA 

      a causé une frayeur considérable

    en été 1918 dans la vallée de l'Oise , à PARIS et dans sa banlieue Nord.

    Les habitants (dont mes grands-parents)

     en étaient restés profondément  marqués

    jusqu'à la seconde guerre qui, elle,  leur a apporté

    des nouveautés en matière de périls bruyants, la vallée de l'Oise

     étant le chemin traditionnel des invasions allemandes.

     

      

    Une ou  plusieurs  grosses Bertha ?

    les historiens ne paraissent pas d'accord; Allemands ou Français

    ont des avis différents. En tout cas,

    ce fut une des premières entreprises d'intoxication psychologique

    Mais aviation et surtout  habitants ont vite localisé

    et renseigné alors l'Armée Française et donc Clémenceau...

     

    Capture-bertha.PNG

     

     cette machine infernale avait fait faire des cauchemars

    aux habitants du Nord de Paris

    et aux Parisiens, visés, blessés et tués ...

    D'après les souvenirs familiaux transmis

    ce monstre était basé dans l'Aisne et

     avait une "voix" et une portée terrifiantes

     

    Pour véritablement avoir une opinion historique objective

    de la Grosse BERTHA

    voici un extrait d'un article très complet : 

      Un extrait ( à lire en entier sur le site) pour les amateurs d'Histoire

         

    Copié avec  l'autorisation du Service des Armées  que je remercie :

     

    http://rha.revues.org/index4682.html

     

      Cette étude n’a pas la prétention de résoudre toutes les énigmes qui entourent le mythe « Grosse Bertha » mais de faire le point des renseignements connus, de dégager les éléments incontestables et d’éliminer les idées reçues, légendes et autres anecdotes. Elle repose pour l’essentiel sur des témoignages, souvent incontrôlables mais qui se recoupent sur certains points. Il s’agit d’officiers allemands ayant participé à l’opération, lesquels ont laissé des récits édités une dizaine d’années après les faits 1, de témoins des aménagements et des tirs, d’employés de tous niveaux de l’entreprise Krupp et d’habitants des communes voisines des positions de batterie. D’autres récits ont été consultés dont les auteurs n’étaient pas en mesure d’assister ou de participer aux faits. Les archives du Service historique de l’armée 2 n’étaient pas alors accessibles aux auteurs contemporains de l’opération et de la décennie qui a suivi. En outre, les autorités allemandes s’étaient attachées à faire disparaître toute trace de cette arme (archives et matériels), ce qui leur a permis d’en nier l’existence. Le retour de l’Allemagne sur la scène politique internationale, puis la passivité des gouvernements alliés devant la montée du nationalisme hitlérien permirent enfin la révélation des faits, désormais présentés comme un glorieux succès. Néanmoins, des récits plus récents, voire contemporains, reprennent sans contrôle les « romans » générés à l’époque par l’opération « Grosse Bertha », perpétuant des contre-vérités qu’il convient de réfuter. L’appellation même de Grosse Bertha, les caractéristiques de cette arme hors normes, la localisation des positions de batterie, le déroulement des tirs, leurs résultats, les actions de contrebatterie, ce qu’il reste de cette opération comparable pour ses effets psychologiques aux raids aériens du conflit suivant, tout a donné lieu à polémique et àrelations où l’imaginaire prend le pas sur la réalité.

    Quelques points de sémantique

    2Il faut avant tout préciser que Français et Allemands désignent sous le nom de Grosse Bertha deux canons entièrement différents. Pour les Allemands, la pièce d’artillerie baptisée Dicke Bertha par référence à madame ou mademoiselle Krupp (les sources divergent), était un obusier de très gros calibre (420 mm) et de faible portée (14 km) conçu pour l’attaque des forts. Les pièces de ce modèle ont été utilisées avec succès, en 1914, à Liège et à Maubeuge. Compte tenu de leur portée, elles n’ont pu tirer sur Paris qui ne s’est jamais trouvé à moins de 20 km de l’extrême avancée allemande en 1914 et à moins de 90 km en juillet 1918. D’autres pièces du même genre (très gros calibre, très courte portée) ont également reçu le surnom de Bertha ou Dicke Bertha de la part des Allemands et, par confusion, les habitants proches des emplacements de batterie ont conclu après la guerre qu’il s’agissait des fameux canons tirant sur Paris.

    • 3  François (Guy), « Les canons de marine allemands de 38 cm SKL/45 Max », Bulletin de l’Association(...)

    3Avec plus de raison, mais quand même à tort, le nom de Grosse Bertha a été donné à des pièces de marine de fort calibre (355 ou 380 mm), à longue portée (45 à 62 km) établies sur des embases bétonnées fixes (circulaires ou semi- circulaires), parfois équipées d’une plate-forme métallique. C’était le cas, en particulier, de Ziellisheim (Haut-Rhin), de Semide (Ardennes), de Coucy-le-Château et du bois du Châtelet (entre Château-Thierry et Fère-en-Tardenois, Aisne) et coïncidence, de Crépy-en-Laonnois (aussi dans l’Aisne) où furent installées les deux premières et véritables Grosses Berthas, dans le sens que les Français ont donné à cette appellation 3. Les idées reçues ont la vie dure et des habitants des communes concernées entretiennent l’erreur : c’est historique ! Quant à elle, la municipalité de Coucy-le-Château a supprimé, en 2002, les beaux panneaux émaillés qui, en bordure de la D 934, identifiaient un soi-disant emplacement du terrible engin.

    • 4  Ferngeschütz que l’on trouve dans différentes sources, désignait toutes les pièces à longue portée(...)

     

    ...    ...    ... 

    Référence électronique

    Alain Huyon, « La Grosse Bertha des Parisiens », Revue historique des armées, 253 | 2008, [En ligne], mis en ligne le 05 janvier 2009. URL : http://rha.revues.org/index4682.html. Consulté le 28 janvier 2011

     

     

     

     

     

     

    image :  http://html2.free.fr/canons/bertha.htm

      portarit :

      http://3.bp.blogspot.com/_dHMUkWjxiWM/SzKxkvaklAI/AAAAAAAAC3A/U8YdvyiFXIs/s400/index.jpg

     

     

     

     


    33 commentaires
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     Adagio du Concerto pour clarinette

     

    27 Janvier 1756

     anniversaire de la naissance de

      Capture-mozart.PNG

     

    MOZART

       http://www.culture.gouv.fr/Wave/image/joconde/0043/m505201_02de10162_p.jpg

    Enfant, il est reçu à la Cour à Versailles

    par Louis XV et la famille royale :  

     

    Capture-cour-louis.PNG

      

     Décembre 1763 - Janvier 1764

    Dans le cadre de son périple européen, le jeune Mozart arrive à Versailles avec

     son père Léopold et sa sœur Nannerl. Un séjour en demi-teinte.

    Le 18 novembre 1763, Léopold Mozart arrive à Paris pour présenter

     ses deux enfants prodiges :

     Marie-Anne, dite Nannerl, âgée de 12 ans,

     et surtout son petit Wolfgang, 6 ans.

    Ils espèrent se produire à la cour de Versailles.

     Le baron Friedrich Melchior Grimm, célèbre auteur allemand,

    ami des encyclopédistes, va les y introduire.

    Une visite privée a lieu au milieu de décembre.

     Louis XV les reçoit avec Mme de Pompadour.

    Léopold la trouve fort belle mais pleine d’orgueil. Elle a un air d’impératrice !

     Il rit lorsque Wolfgang lui chuchote qu’elle ressemble à Threzel, leur cuisinière !

    Après avoir joué pour elle, Mozart veut l’embrasser.

     La marquise refuse, ce qui froisse le petit garçon.

    N’a-t-il pas embrassé l’impératrice Marie-Thérèse d’Autriche ?

     Le fait est que les Mozart sont heurtés par la rigidité de la Cour de France. 

     

    La réception officielle de la famille a lieu à la fin décembre.

    Elle loge, depuis le 24, à l’hôtel de Cormier (n° 6 de la rue du Peintre Lebrun actuelle),

    à deux pas du château. (en face du Théâtre actuellement)  

    Capture-filles.PNG

    MESDAMES  

     

    Après avoir joué devant la famille royale, la dauphine et

    Mesdames, filles de Louis XV, embrassent à plusieurs reprises les enfants,

    à la grande satisfaction de Léopold

     Il mesure au nombre de baisers, l’intérêt qu’on leur porte.

     

    4850992261_ff4293419e.jpg

    Mme de Pompadour

    reçoit là une leçon ! Le 1er janvier 1764, la famille est conviée à la table du roi.

    Wolfgang est assis à côté de la reine Marie Leszczinska, Léopold près du roi et Nannerl,

    entre le dauphin et Mme Adélaïde. La reine, qui parle allemand, fait office d’interprète.

     A la fin du repas, Louis XV demande à entendre Mozart jouer de l’orgue.

     Une heure est convenue pour le lendemain. Mais le roi, impatient, se lève

    et se dirige vers la chapelle royale. Tout le monde suit.

    L’enfant frappe une note prolongée, puis une autre,

    suivie d’un déluge d’harmonie. Le roi est stupéfait !

     

    Les Mozart demeureront 16 jours à Versailles. Léopold trouve la musique de la chapelle royale

    à la fois bonne et mauvaise. Les chœurs sont, selon lui, excellents, mais la musique vocale

    trop glaciale, trop française ! A leur départ, Louis XV fait verser par

    les Menus Plaisirs, 1200 livres. Somme qui vient s’ajouter aux multiples présents

    qu’ils ont reçus. Mozart dédiera en mars à Mme Victoire, en gage de reconnaissance,

    ses deux premières sonates pour clavecin publiées à Paris.

       

    Une autre jeune Autrichienne arrivera six ans seulement après Mozart

    dans cette Cour, le 17 mai 1770

    4222841457_56aa1f566a.jpg

    étouffée par l'étiquette, les courtisans et la lourdeur du décor 

     elle se réfugiera au Hameau dit de la Reine 

     

    L'atmosphère générale du Versailles actuel, ville et château,

    est toujours très froide, au propre et au figuré !

     

    copié du site :

    http://www.chateauversailles.fr/l-histoire/grandes-dates/chronologie/1763-1764-visite-de-mozart-enfant

     

    Acheter rue du peintre Lebrun à Versailles ? ...

    http://www.meilleursagents.com/prix-immobilier/m2/rue-du-peintre-lebrun-2056598/11/#mb=48.805513836127126|2.123381495475769|48.80653842383987|2.1253663301467895 

    image : la cour de Louis XV

     http://images.recitus.qc.ca/main.php?g2_view=core.DownloadItem&g2_itemId=2220&g2_serialNumber=3

    image : les filles de Louis XV

    http://data0.eklablog.com/lejardindutemps/mod_article54727821_50635553f358e.jpg

     

     

     


    46 commentaires
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    Le 27 JANVIER 1794

    8 Pluviôse, An II

     

    Envoi à MEULAN

    d'un détachement de l'armée révolutionnaire de PONTOISE,

    de deux pièces d'artillerie

    et de compagnies de canonniers

     

    Capture-soldats.PNG

      

    Et ce jour, on fêta le

    MEZEREUM

      

    Capture-meze.PNG

      

    ou BOIS JOLI, au multiples propriétés : 

    http://nature.jardin.free.fr/arbuste/nm_daphne_me.html 

     

    et surtout,

    ce jour-là l

    le député Bertrand BARERE fait voter la loi

    rendant obligatoire

    le FRANCAIS

    pour tous les documents publics

     

     

     

     

    In "Ephémérides pontoisiennes" d'Henri LE CHARPENTIER - Pontoise, 1892 

     

    gravure :  

      : http://www.google.fr/imgres?imgurl=http://revolution.1789.free.fr/image/massacres_lyon.JPG&imgrefurl=http://revolution.1789.free.fr/page-8.htm&usg=__P-kBXFsU7z3iWc7TwRhtuBbSln8=&h=330&w=463&sz=105&hl=fr&start=14&sig2=xaz3NDzNyRbsup_-ck87-A&zoom=1&itbs=1&tbnid=c51amYniykxrqM:&tbnh=91&tbnw=128&prev=/images%3Fq%3Dcanon%2B1794%26hl%3Dfr%26rlz%3D1T4RNTN_frFR382FR382%26tbs%3Disch:1&ei=4ko7TbjLMdGv8QPArMGrCA


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    Paris

    1909

       une carte postale familiale :

    DSCN8488

     

    On est loin des longues files d'attente actuelles...

    mais les ascenseurs fascinent toujours autant

     

    L'ancien Palais du TROCADERO

    est au fond.

    Il avait été construit pour l'Exposition Universelle de 1878

    et réutilisé lors de l'Exposition de 1889

    et a donc suivi les travaux de la Vieille Dame,

    achevée en 1889 après seulement 26 mois de travaux.

     

    Les bureaux d'étude avaient travaillé cinq ans sur le dossier;

    la technique avait été mise au point sur

     le chantier du Viaduc de GARABIT: tout tient avec des rivets... 

      

    Les célèbres rivets et leurs riveteurs,

    les hommes-écureuil

    qui travaillaient dans le vent, le gel, le froid,

    sans protection, sans vertige...

     

     

    Ce bon blog vous explique le travail des RIVETEURS  

    http://coyotus-erudicus.blog4ever.com/blog/lirarticle-284064-1278344.html

     

      http://paris1900.lartnouveau.com/cartes_postales_anciennes/le_trocadero.htm

     

    La TOUR EIFFEL

    http://www.tour-eiffel.fr/index.php?option=com_content&view=article&id=17&Itemid=24&lang=fr

     

    Et à la Libération :

     

     

     

     

     Aucun droit n'est perçu sur l'image de la Tour Eiffel

    qui relève du domaine public.

    De jour.

    Mais la nuit :

    attention tout de même !

     http://www.ipernity.com/blog/halx_6/83470

     

     

     

     


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